Avec bébé, Je couve, Mum of two

La naissance de MiniChou (1/2)

IMG-20170524-WA0010Alors que Nymphette approche doucement des quatre mois, il est temps pour moi de revenir sur le récit de sa naissance. Vous le savez, j’étais plus que prête. Cet accouchement, je l’ai rêvé, je l’ai imaginé à de nombreuses reprises, je m’y suis préparée, et finalement, il n’a pas vraiment ressemblé à ce que je pensais.

Au moment de mettre par écrit cette période si intime et si bouleversante, je me sens submergée par des sentiments que je n’ai pas forcément intellectualisés, sur le moment. Du coup, me voilà partagée entre une volonté de concision (et comme tu as dû le remarquer, chère lectrice, ce n’est pas mon fort !) et une envie de vous décrire à la fois mon cheminement physique et mental.

Je sens que ça va se finir en article fleuve, cette histoire…!

Autre chose : j’ai décidé de vous parler de tout, sans tabou ! On parlera placenta, poche des eaux fissurée, douleur et contractions, voire même méconium et colostrum. Parce que donner naissance, c’est tout sauf propre ! Aux dernières nullipares romantiques, vous voilà prévenues ! 😉

Les derniers jours

Sans être particulièrement pressée d’accoucher, je n’avais pas du tout envie de rentrer dans le protocole de dépassement de terme, où il faut se rendre tous les deux jours à la maternité pour un suivi rapproché et médicalisé.

Voyant ma DPA approcher à grands pas, j’ai tout fait pour accélérer les choses et la veille du jour J, j’ai parcouru en long en large et en travers, sous le soleil écrasant de cette fin du mois de mai, la belle brocante de ma ville à laquelle je pensais avec regrets ne pas pouvoir participer. A défaut d’accoucher, j’ai fait des affaires, notamment auprès d’une maman suédoise revendant toute la garde-robe de son petit garçon. A moi les pyjamas, les gigoteuses et les petits pantalons aux motifs siiiiiiii mignons ! 😉

Mais bon, MiniChou n’étant décidément pas pressé de rencontrer la famille, me voilà toute dépitée à mon rendez-vous du terme, devant une sage-femme désolée qui me dit que mon col est en béton armé. Pour ne rien arranger, le monito ne montre aucune contraction et l’écho confirme que MiniChou a une piscine olympique de liquide amniotique. Le verdict est sans appel : je continue à couver jusqu’à nouvel ordre.

Je m’occupe comme je peux, même si pour Poupette comme pour nous, l’attente devient un peu pénible. Sans mentionner les dizaines de SMS, appels, messages, post FB, pigeons voyageurs et autres rappels que je suis une femme enceinte périmée.

Le surlendemain, je retourne donc à la maternité, et devant mon air accablé, la sage-femme me propose un décollement des membranes : je saute de joie en lui confirmant que je suis prête à tout pour éviter le déclenchement. En y repensant, fallait-il que je sois à bout pour sauter de joie à l’idée qu’on vienne trifouiller dans mon vagin….?!
Bref, elle fait sa petite affaire, puis me dit qu’elle ferait quand même bien un test pour vérifier que je n’ai pas fissuré la poche des eaux. De mon côté, je n’y crois pas : il y a quelques semaines, ma fausse alerte m’a rendue tout à fait septique et résignée au fait de retrouver ma petite culotte humide en permanence sans que ce soit le signe d’une délivrance à moyen terme (vous avez dit glamour ?).

Mais là, ô joie et bonheur, j’entends cette phrase magique : « Madame, vous avez fissuré, on vous garde ! » Youhou !! Je me sens déjà plus légère et sautille comme un cabri obèse dans le couloir de la maternité. Les sages-femmes sont mortes de rire et me disent qu’elles ont rarement vu une femme aussi motivée pour accoucher.

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Le jour J

L’attente

Bref, me voilà dans la place, mais rien n’est fait pour l’instant, car toujours pas de contractions à l’horizon. Le compte à rebours est lancé : on me laisse 24h pour que le travail se déclenche naturellement. Je croise les doigts pour échapper au déclenchement, rapport au fait que j’aimerais me passer de péridurale, tu te souviens ?

En attendant le début des hostilités, je profite tranquillement de ma (dernière !) journée de repos, chouchoutée. Mister F. s’organise pour faire garder Poupette ce soir, cette nuit et les jours qui viennent : merci à mes parents impatients, dont la venue anticipée va finalement grandement nous faciliter la vie. (Ah la la, les mères, ça a le chic pour avoir cet instinct qui les fait débarquer juste au bon moment, hein ? 😉 ).

De mon côté, je croise dans les couloirs trois de mes copines de maternité qui, comme moi, sont sur le point d’accoucher. Bon, je dois dire qu’elles sont plus avancées et, sans envier leur douleur, j’avoue que j’aimerais que les choses avancent pour moi aussi ! D’ailleurs, je tombe par hasard sur la sage-femme qui m’a fait plusieurs séances d’acupuncture et elle me propose de m’en faire une nouvelle dans l’après-midi pour essayer de lancer les contractions.

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En fin de journée, Mister F. me rejoint à la maternité. Ça me fait énormément de bien de le voir et de savoir que Poupette s’éclate comme une petite folle avec ses grands-parents. On en profite aussi pour se mettre d’accord sur les prénoms, fille et garçon : il était temps ! C’est bon MiniChou, tout est sous contrôle, tu peux venir, on n’attend plus que toi !

Comme je ne présente toujours aucun signe d’accouchement imminent, Mister F. rentre dormir à la maison, prendre des forces pour les heures et les jours qui viennent. De mon côté, je retourne dans ma chambre et je me prépare à une nouvelle longue nuit entre insomnies et douleurs de fin de grossesse.

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Les choses sérieuses commencent

Au moment du contrôle de début de soirée, je sens des douleurs fréquentes et de moins en moins supportables. On me descend en salle de naissance et je me réjouis d’avance à l’idée d’échapper au déclenchement. Mais après monito, il s’avère que ce que je prenais pour les premières contractions de travail n’en sont pas : MiniChou est tellement à l’étroit qu’il s’agite régulièrement. Toutes les 5-10 minutes, il gigote avec fureur et me retourne les entrailles (ou les joies d’être un punching ball humain, et de l’intérieur en plus !).

D’ailleurs, la sage-femme n’est pas hyper sereine : à chacune de ces vagues de douleurs, le coeur de MiniChou s’emballe, et elle n’aime pas trop ça. Elle se veut rassurante mais me dit qu’elle voudrait me garder sous monito pendant au moins 2h, afin d’avoir une vision plus globale de l’évolution du rythme cardiaque de MiniChou pour pouvoir en parler avec l’obstétricien de garde. Je cite ses mots exacts : « Je suis un peu inquiète par la tachycardie, je préférerais voir avec le médecin. Mais bon, vous, ne vous inquiétez pas, hein, Madame ! »

Mais bien sûr ! A ces mots, la peur s’installe et ne me quittera plus jusqu’à la naissance.

Le service étant plein à craquer cette nuit-là, je reste seule en salle de naissance pendant une bonne partie de la soirée, à stresser à chaque évolution du rythme de cardiaque de MiniChou, à fixer la ligne qui se dessine sur l’écran et à vainement essayer de me contrôler.

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Au bout d’un peu plus de 2h, la sage-femme revient me dire que le médecin de garde est du même avis qu’elle : ils préfèrent me déclencher parce que la tachycardie de MiniChou ne se calme pas…. C’est le coup de massue : je stresse complètement pour mon petit bébé, j’ai du mal à comprendre ce qu’on va me faire et comment va se passer la suite. Je demande à plusieurs reprises à la sage-femme s’il faut que je dise au papa de me rejoindre, mais elle me conseille de le laisser dormir : malgré le déclenchement, le travail peut mettre encore longtemps avant de se lancer. Mais de mon côté je suis trop angoissée : je n’arrive plus à gérer toute seule, et même si cela prend encore longtemps, je veux que Mister F. soit à mes côtés pour m’épauler.

Dès la fin du déclenchement (la sage-femme me pose à deux reprises une espèce de tampon imbibé de produit), j’appelle Mister F. et, après une conversation surréaliste où il me demande avec insistance « Mais tu es sûre que je dois venir maintenant ? Parce que si rien ne se passe avant demain matin, je vais être trop fatigué dans les jours qui viennent. » il finit par se décider à me rejoindre.

J’avoue que je lui en veux encore de m’avoir posé cette question en faisant valoir son hypothétique fatigue à venir, alors que moi j’étais en panique pour notre petit bébé et complètement dépassée par les événements. Mais avec le recul, je pense qu’il n’a pas réalisé que je craignais réellement pour la santé de MiniChou, à ce moment-là.

Bref, il finit par me rejoindre et je ne regrette pas d’avoir insisté parce que finalement, le travail se lance dans la foulée, soit moins d’une heure après le déclenchement, contrairement à ce que m’avait laissé entendre la sage-femme. Je négocie pour me remettre debout : je ne veux pas me retrouver coincée sur le dos avec les contractions qui se font de plus en plus précises. Et d’ailleurs, je suis bien heureuse que Mister F. soit là pour m’aider à les gérer !

Au moment de son premier contrôle post-déclenchement, la sage-femme est étonnée de voir que mon col est déjà bien ouvert : le travail est efficace. Elle me propose la péridurale immédiatement, mais pour l’instant, je gère en marchant dans la salle et en m’appuyant sur la table. J’aimerais pouvoir aller au bout par moi-même et je lui explique donc que je préfère retarder. Je la vois alors se raidir et elle se fait plus insistante : « Vous savez Madame, si je vous dis ça c’est parce que l’anesthésiste est disponible maintenant et ça ne sera pas forcément le cas plus tard ! »

Exactement ce que j’avais besoin d’entendre : merci !


Oh la la, mais je réalise que je vous ai déjà écrit un roman ! Sans vouloir entretenir un suspens insoutenable (loin de moi cette idée), je vais m’arrêter là dans mon récit et revenir bien vite vous raconter la fin de mes aventures puerpérales !

46 réflexions au sujet de “La naissance de MiniChou (1/2)”

    1. Oui, elle m’a vraiment soûlée à insister comme ça et j’ai eu l’impression que du coup, c’était tant pis pour moi si je souffrais, elle n’allait pas perdre son temps avec moi et encore moins m’aider à gérer ma douleur !

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  1. Nous sommes toutes accrochées au suspens je crois que pour une fois, 3 000 mots ne nous auraient pas dérangées 🙂 . Bon et sinon tu peux dire à Mister F qu’il vient de louper de peu le titre d’homme le plus fantastique de la blogosphère parentale, quel dommage ! (je rigole bien sûr et j’espère te faire sourire aussi). Et pour terminer tu vois moi qui ai accouché sans péri je me crispe de douleur quand je lis le notre d’examens que tu as du subir (4 touchers vaginaux et deux tampons de déclenchements au moins rien que dans cet article ??). J’en ai presqu’une phobie tellement je les déteste et je ne sais plus si je vous l’ai raconté mais ça a été une de mes chances : la SF qui m’a accouchée à accepter de ne pas me toucher. C’est sans doute ce qui a accentué le côté imprévu de la sortie de Charles…

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    1. Ahahah ! J’avoue que, si en général j’ai bien peu de choses à reprocher à Mister F., sur ce coup-là, il a fait fort ! J’avais d’ailleurs en tête d’écrire un article sur « Papa une seconde fois » parce que, pour plein de détails (plus ou moins importants d’ailleurs !), je le trouve moins impliqué, moins passionné qu’il ne l’a été pour ma première grossesse et pour les premiers mois avec Poupette.
      Quant au nombre de touchers vaginaux, tu le sais, c’est ma grande angoisse côté rééducation du périnée, donc on peut dire que moi aussi j’en ai un peu la phobie. Mais s’il y a bien un moment dans ma vie où je trouve ça utile, et donc supportable, c’est pour savoir où j’en suis de mon accouchement….!

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  2. Du coup, dans ton article, tu réponds a une question que j’avais encore en suspend. Pourquoi n’as tu pas demandé à tes parents de garder votre fille pendant que tu serais à la maternité (qu’ils servent au moins à quelque chose ! 😂) Bah en fait si 😜
    C’est quand même pas cool de nous laisser en plein milieu comme ça !
    Sinon, tu as vraiment fait de belles trouvailles à ta brocante!

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    1. Oui c’est clair : je rageais parce que je voulais être tranquille jusqu’au bout mais finalement ça nous a bien rendu service leur impatience (sachant qu’on avait quand même plusieurs solutions s’ils n’avaient pas été là, hein).
      Et oui, heureusement c’était vraiment top cette brocante ! 😂

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  3. oh quelle angoisse ! je comprends que tu avais besoin de mister F à tes côtés à ce moment. J’ai moi aussi eu le fameux tampon et décollement des membranes, mais le travail ne s’est mis en route que le lendemain matin. J’espère que la suite s’est bien passée et que tu as pu gérer les contactions le plus longtemps sans péridurale, d’ailleurs est que tu as trouvé qu’elles étaient plus fortes ou différentes avec le déclenchement ? Hâte de lire la suite

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    1. Je pense que sans les épisodes de tachycardie de MiniChou on m’aurait laissé attendre jusqu’au lendemain matin et j’aurais vraiment préféré…. Là en plus du stress on a dû accélérer les choses, ce qui n’aide pas pour gérer la douleur.
      Pour te répondre sur la douleur des contractions avec ou sans déclenchement, je suis bien embêtée : pour Poupette, je n’ai pas été déclenchée mais j’ai perdu les eaux en une seule fois (comme au cinéma ! 😄), ce qui a déclenché les contractions d’un coup. Et comme en plus elles étaient dans les reins, c’était extrêmement douloureux dès le début.
      Cette fois ci, je n’ai ressenti aucune contraction avant le déclenchement chimique, donc je peux juste te dire qu’après elles étaient plus douloureuses (et efficaces), mais c’est pas une véritable comparaison.
      Conclusion : il faut que j’en fasse un troisième ! 😜

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      1. Oui j’imagine le stress et la pression que ça a dû être en plus de la gestion de la douleur 😦 ma pauvre, heureusement la magnifique mini chou est arrivée et elle a l’air en parfaite santé. Et pour en savoir plus sur cette étude de contractions, un petit troisième serait le bienvenue ;))

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          1. Et oui, déclenchée les deux fois ^^ mon expérience ne va donc hélas pas pouvoir t’avancer et répondre à cette étude ;)) Je vais devoir aussi repasser à la casserole 😉 mais j’ai bien peur que ça ne serve à rien et qu’un déclenchement m’attende encore ^^^. Le vécu du travail a été différent et l’accouchement plus rapide pour le 2e, j’ai demandé la péridurale dès le début du déclenchement à l’ocytocine et j’ai accouché une heure après :D.

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      1. Ils ont été très différents, avec péridurale la 1ère fois et sans la seconde ! Si tu en as envie, tu peux lire la naissance de M sur mymapie.wordpress.com 😊 Cette fois-ci, je veux recommencer sans la péridurale, j’ai préféré mais je connais aussi LES douleurs !

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  4. Holàla quel suspense 😉 !!! Mais je trouve qu’on ne devrait pas avoir le droit de dire ce que ta sage-femme dit, par rapport à la péridurale… C’est mettre la pression à fond et à un moment où tu souffres physiquement en plus ! Bon hâte de lire la suite 😉

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    1. Oui, je trouve ça tellement mesquin ! Je peux comprendre ses arguments, parce que j’imagine qu’une femme sous péridurale est plus facile à « gérer » (à laisser seule, quoi) et que si le service est bondé, ça doit être plus facile pour les sage-femmes d’avoir uniquement des patientes sous péridurale, d’autant plus s’il faut gérer une urgence, par exemple. Mais du point de vue de la patiente, qui a ses propres envies, son propre vécu, je trouve ça vraiment injuste. Comme tu dis, mettre la pression sur quelqu’un déjà à terre, c’est facile…. :-/

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  5. Oh mon dieu … j’ai l’impression qu on a eu le meme accouchement : fissuration de la poche des eaux, monitoring, renvoyer Mister dormir et le faire revenir , col qui se modifie trop peu, rythme cardiaque du bébé douteux (terme hyper rassurant, Merci à la sage femme de garde), du coup déclenchement, passage en 30minutes de 2 doigts à 10 cm et … le coup de l’anesthésiste !!! Mais j’ai été faible et contrairement à toi, j’ai cédé …sauf que la peri n’a pas fait effet ! Mais j’ai quand même adoré mon accouchement, je suis en forme et ma crevette aussi ! Hâte de lire ta suite !

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  6. Les ressemblances troublantes continuent… je n’ai pas été declanchee mais j’avais fissuré également…
    Même réflexion de mon mec en pleine nuit : t’es sûre que je dois venir ? Et la sage femme qui prend le téléphone et qui lui dit oui oui, on est sûres 😂
    Il faut dire que j’étais en train de mourir sur place. J’avais envie de me défenestrer, j’étais incapable de gérer mes contractions.
    J’étais moi aussi partie pour un accouchement sans péri mais après 7h de contractions ultra douloureuses je l’ai accueillie avec plaisir. Hate de savoir comment s’est passé la suite pour toi ! Tu nous tiens en haleine !!

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    1. Arff ! Toi aussi il t’a fait le coup ? Heureusement, la sage-femme était de ton côté, alors que la mienne me disait de le laisser dormir !!
      Ma pauvre, 7h de contractions pour un 2ème…. C’est long !!
      La suite arrive vite vite ! 😉

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  7. Oui je crois que je sais pas faire un accouchement rapide. Et puis 7h pour arriver à 3 doigts quoi. Lolilol.
    La SF était de mon côté car j’étais en train de faire peur à tout le service… je n’ai pas eu besoin d’appuyer sur le bouton pour qu’elle rapplique dare dare 😂 donc elle s’est dit qu’il valait mieux que ce soit mon mec qui gère, j’imagine.
    Sinon faut quand même que je te dise : je suis incroyablement jalouse de tes petites trouvailles à la brocante (nobodinoz quoi ! Tu sais combien coûtent ces merveilles, neuves ?)(oui tu sais, coquine)

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    1. Arff ! En effet, si c’était un appel à l’aide de la part de la SF, c’est moins cool…. En même temps, elle a pas tort : faut bien qu’ils soient là pour assumer leurs conneries, les papas ! 😜

      Et oui, hihi, mes merveilles pour une bouchée de pain m’ont bien consolée ! 😂

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  8. Qu’est-ce que j’adore les récits d’accouchement! Ils ont beau être souvent longs, je ne les vois pas passer et là je reste sur ma faim ^^
    En tous cas, merci de tout nous raconter, certains n’aiment pas lire ce genre de chose mais ça fait tellement de bien de trouver des récits complets pour se préparer quand on est nullipare! (Bon je me répète mais tu as un magnifique top 😉 )
    Déjà, je craque complètement sur les affaires que tu as faites à la brocante! Ca aurait été vraiment dommage de la louper!!
    Je comprends que tu aies eu besoin d’appeler ton homme même si le travail ne se lançait pas de suite. Je voulais aussi attendre que ça se lance pour l’appeler et finalement, j’ai été dépassé par les émotions que je n’arrivais plus à gérer seule et je l’ai fait venir plus tôt (j’ai eu raison, moins d’une heure après, je partais en césarienne…). Tu as de la chance que ton déclenchement ait fonctionné! Je ne sais toujours pas ce qu’est une contraction malgré le déclenchement! Et le coup de l’anesthésiste, je trouve ça vraiment moyen! C’est vraiment un truc que je ne comprends pas! J’espère que la suite se passera pour le mieux et j’ai hâte de la lire.

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    1. Oui, même si ça fait deux articles un peu indigestes, ça me tenait à coeur de garder une trace écrite bien détaillée de mes accouchements. On oublie tellement de détails avec le temps !

      Hihi, oui, j’étais sincèrement déçue de devoir louper cette brocante, du coup, au moins pour ce jour-là, j’étais contente que MiniChou joue les prolongations. 😉

      Et oui, comme tu dis, on peut vraiment vite se faire dépasser par nos émotions dans ces moments-là, urgence réelle (comme toi) ou non (comme moi), et dans tous les cas, on a besoin des papas pour nous soutenir et ne pas perdre pieds, surtout quand pour des raisons diverses et variées, le personnel médical n’est pas disponible.

      Et sinon je suis vraiment navrée pour toi que ton déclenchement n’ait pas fonctionné…. 😕

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