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En pointillés

Tout est dit dans le titre : en ce moment, le blog et moi, on a un peu du mal à trouver du temps. On passe notre vie à se croiser.

La nuit, pendant mes insomnies, tout un tas de sujets (passionnants, bien évidemment ! 😉 ) me viennent en tête, et je commence à rédiger mentalement un ou deux paragraphes, en me disant que ça me ferait du bien de mettre tout ça par écrit. Et puis le sommeil finit par me rattraper, et au matin, il ne reste plus grand chose de toute cette belle motivation bloguesque.

Dans la journée, c’est la course. Je vois les semaines défiler à toute vitesse et la date de mon début de congé maternité arriver à toute allure. J’essaie de prioriser, de ne pas paniquer, mais ce n’est pas toujours évident. Je crois que j’ai du mal à lâcher prise et que je mets la barre un peu trop haut. Entre la culpabilité de laisser tomber mon doctorant dans la dernière ligne droite et tous ces articles que je voulais rédiger avant de filer, il me faut aussi gérer le reste pour passer la main convenablement sur les autres études.
Je crois que je suis aussi en train de transformer ça en un stupide défi professionnel qu’il me faudrait à tout prix remplir avant de partir pour quelques mois, histoire d’être sûre de ma valeur et de pouvoir réattaquer dans des conditions favorables en septembre prochain. Parce que je le sais bien, pour l’avoir déjà vécu : ça va être difficile de retrouver ma motivation et d’être aussi performante à mon retour. Il va y avoir quelques mois de latence, pendant lesquels ma carrière passera forcément au second plan.
J’ai l’impression de finir un cycle, avec ce départ en congé maternité : fin de la première thèse que j’encadre, fin de ma période relativement tranquille de jeune embauchée. Bref, je me mets la pression.

Et puis, si je prends un peu de recul, je crois que cette période de l’année, cette parenthèse blanche et froide entre les fêtes et le printemps, a toujours été difficile pour moi. Je n’ai jamais été bonne à grand chose quand même, pendant l’hiver. Et pourtant, cette année, les vilains petits virus chroniques nous ont épargnés (hormis la méchante grippe de Poupette à Noël).

Bon, évidemment, on ne parle pas de ce fichu parvovirus qui nous aura quand même bien gâché la vie, ces dernières semaines, et empêchés de profiter de cette grossesse.
Je crois pouvoir affirmer qu’on sort de l’angoisse dans laquelle on a pataugé : mes dernières sérologies vont dans le bon sens, même si, poussée par une espèce de superstition idiote, je préfère attendre une confirmation de vive voix de la part de ma sage-femme.

Ajoutons à tout ça :

  • le (fameux !) déménagement, les travaux, petits et gros, à faire tout de suite ou à prévoir,
  • la semaine de déplacement pro à la montagne, où je l’avoue, j’ai craqué et j’ai fini à 3h du mat’ sur la piste de danse, à trémousser mon gros bidon…. Fatal error que j’ai payée au centuple en termes de fatigue la semaine suivante !
  • la famille qui vient, qui va, qui squatte et qui repart en embarquant l’alimentation du PC,mais qui, pour compenser, laisse ses chaussures en partant et tout plein de cadeaux ! 😉
  • et ma maladresse de femme enceinte qui me vaut presque trois semaines d’abstinence de téléphone (après la vraie abstinence sous la couette pour cause de parvovirus, mais bon là, je n’y étais pour rien, au moins….!) ET une facture monstrueuse (quand ton écran vaut le prix d’un mois de crèche : true story).

Petit aparté : il n’y a qu’à moi que ça arrive, cette maladresse de couveuse ? Pour mes deux grossesses, passée une certaine dimension latérale ventrale, je me suis mise à faire tomber à peu près tout ce qui passait à ma portée. Naaaaaan mais parce que c’est tellement plus drôle de se baisser 50 fois par jour, quand on a une bouée bien gonflée à la place du ventre et une sciatique bien installée, pour ramasser sa brosse à dents/cuillère/barrette à cheveux/bouteille d’eau/tartine (aucune mention inutile) ou son téléphone (au hasard). Donc sérieusement, ça n’arrive qu’à moi, cette sensation de perte de repères dans l’espace ?

travaux
La photo un peu hors sujet, mais qui montre qu’on ne chôme pas, à la maison ! 😉

Bref, voilà, le blog et moi, ces derniers temps, c’était en pointillés. Je m’en excuse et espère revenir bien vite, plus inspirée que jamais (on peut toujours y croire, hein ?), avec des articles un peu moins vrac que celui-ci !

 

33 réflexions au sujet de “En pointillés”

  1. Je suis contente de savoir que finalement le parvovirus était une fausse alerte. Toujours prudence bien entendu, mais c’est tout de même rassurant. J’espère que tu vas profiter un peu plus sereinement de ta grossesse désormais.
    Alors moi je n’ai pas été embêtée par mon gros ventre, qui était pourtant énorme, pendant ma grossesse. Mais j’ai une copine, qui faisait aussi tout tomber. Et comme elle en avait assez de toujours se baisser et de s’apercevoir que pour se relever c’était mission presque impossible, elle laissait tout par terre et c’est son mari qui ramassait en rentrant du travail. C’est une solution comme une autre.
    Et pas de pression sur ce qu’il te reste à faire. Ce n’est pas très bon (je suis très mauvaise conseillère sur le sujet, car je réagis comme toi, comme un défis qu’il faut à tout prix atteindre), essaye de prioriser autant que tu peux, relache la pression.

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    1. Ahahah ! Pas mal la solution de ta copine ! 😀
      Mais bon, déjà que je me sens diminuée, à laisser Mister F. pratiquement tout faire dans la maison, il faut que j’assume mes maladresses (bon, là, mon compte en banque s’en souviendra, de la dernière….! Et encore, je ne suis pas au bout : la dernière fois, j’avais péter l’écran de l’ordinateur portable de Mister F. à 3 jours du terme….!).

      Comme tu dis, on reste prudent, mais oui, a priori, c’était une fausse alerte.

      Et sinon, oui, prioriser et relâcher la pression : j’essaie, j’essaie, je sais bien que tu as raison, mais ce n’est pas facile !

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  2. Forcément, avec un tel programme difficile de dégager du temps 😉
    Pour les chutes d’objets, c’est comme les chaussures, j’exploitais mon fils lors de la deuxième grossesse 😉
    Bonne continuation et je croise les doigts pour que la bonne nouvelle contre ce parvovirus se confirme

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    1. hi hi, moi aussi j’avais une fâcheuse tendance à avoir une passoire à la place des mains, c’est d’un pénible !! Et comme Mam’Weena, j’exploitais mon fils pour m’aider à ramasser (et bien d’autres choses encore : porter la bassine de linge, mettre des trucs à la poubelle de recyclage, ranger le linge, vider le lave vaisselle, etc !). J’espère que tu vas vite réussir à te reposer et à te poser !

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  3. Comme tu publies peu, tu vas avoir la chance d’avoir un commentaire 3 fois plus long 😉
    Alors d’abord, la question de chercheuse : tu es déjà HDR ?!
    Ensuite, l’avis du public : je pense parler pour tout le monde en disant qu’on te pardonne ton absence, tu as quelques bonnes raisons me semble-t-il…
    Après, la voix de la raison : c’est NORMAL de partir en congé maternité quand on est enceinte, c’est NORMAL d’être parfois enceinte quand on est un être humain femelle, c’est même nécessaire pour que les générations suivantes existent et ton doctorant ne serait pas là si sa maman n’avait pas fait la même chose, alors… il n’y a pas à culpabiliser de partir, même si c’est frustrant. J’ai appris pas mal de choses avec ma dépression, et notamment que :
    1/ personne n’est indispensable (même si ça fait du bien à l’égo de le croire), ou quand on est vraiment indispensable (parce qu’on est le seul à connaitre le logiciel ou le coup de main secret ou comment est rangé le disque dur), les gens se débrouillent autrement, et on n’a pas à culpabiliser de la charge de travail supplémentaire pour les autres quand on a des raisons légitimes de s’absenter – parce que quand tu y penses, tu n’en veux pas à ta collègue qui lâche au bout du rouleau du burn out ou à ton chef qui s’arrête pour s’occuper de son enfant malade, ou à la secrétaire qui va avoir son bébé tant attendu. Il faut se dire que les gens peuvent avoir la même compréhension pour toi.
    2/ la vie est pleine d’imprévus et de coups de malchance, où on était au mauvais endroit au mauvais moment. Mon mari a eu l’infortune de faire sa thèse au moment où une CR psychopathe a débarqué, et elle a réussi à le faire abandonner, je suis tombée malade au moment où j’étais dans une super dynamique universitaire et professionnelle… eh ben c’est la vie, les circonstances ont décidé de certaines choses pour nous, et on se débrouille pour tirer le meilleur de la direction qui a été donnée. Alors ton doctorant, tu ne le lâches pas, tu lui ouvres ce chemin de vie où il finira encadré par un autre, qui lui trouvera peut-être le post-doc de ses rêves par hasard ; et toi, tu ne mets pas ta carrière en suspens ou en péril, tu construis un futur bien plus important, en fabricant la famille qui t’aimera jusqu’à tes vieux jours – ça c’est une certitude, alors que le possible article non publié qui te fera rater la conf’ de l’année, on ne le saura jamais…
    Facile à dire de la part d’une consoeur de conscienceprofessionnalite aiguë, mais c’est au moins un chemin de rationalisation pour apaiser tes prises de têtes…
    Quant à la maladresse de femme enceinte, j’espère que je ne l’aurai pas parce que je suis déjà une catastrophe ambulante qui fait tout tomber et avec des bleus partout parce que je n’arrive pas à éviter les meubles, alors avec un schéma corporel modifié…
    Bon courage pour les travaux, c’est toujours une sacrée aventure !

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    1. Oh merci, mille mercis, pour ce précieux commentaire à rallonge !
      Oui, je crois que j’ai besoin de rationaliser un peu, et ça me fait du bien de lire tes mots. 🙂

      Bon, première réponse : Nooooon, grands dieux, moi qui n’ai pas réussi à publier un seul fichu article depuis la fin de ma thèse, je suis bien loin d’être HDR ! Par contre, dans notre institut, on peut quand même encadrer des thésards au quotidien, sans avoir le titre de directeur de thèse. Du coup, nos thésards sont plutôt chouchoutés (en l’occurrence, mon cher petit a non seulement moi sur son dos, mais aussi deux directrices de thèse, un autre encadrant chez nous et au moins trois correspondants industriels : le pauvre !).
      Du coup, c’est clair, raison de plus pour rationaliser : il ne va pas être laissé à l’abandon, ce petit thésard déjà bien débrouillard. Il a une dreamteam derrière lui ! Mais j’avoue avoir un pincement au coeur de le laisser dans la période vraiment foireuse et critique de la thèse, aka la rédaction.
      Mais je te rejoins absolument sur le fait que personne n’est indispensable (et mon syndrome de l’imposteur me souffle dans l’oreillette que moi sûrement encore moins qu’un autre ! 😉 ). En l’occurrence, c’est plutôt pour mon amour propre professionnel, et en prévision de la reprise douloureuse de septembre que j’aimerais réussir ces challenges avant mon départ. Du coup, je ne me sens pas tant coupable vis-à-vis des autres, mais j’essaie plutôt de me prévoir un retour dans les meilleures conditions (surtout psychologiquement, je crois….).
      Mais bon, j’aime beaucoup la manière dont tu vois les choses : je construis un futur bien plus précieux que ma carrière professionnelle, même si ça doit me faire rater la conf de l’année ! 😉

      Quant aux imprévus de la vie, que tu mentionnes si justement, je sais que tu as parfaitement raison. Parfois, ça déraille, on dérape et ben c’est comme ça. On se relève et on recommence.

      Merci encore pour ce boost de motivation : ça m’a fait du bien de te lire ! 🙂

      PS : désolée, je ne voulais pas te faire peur avec ma maladresse de couveuse ! Peut-être que du coup, pour toi, ça passera inaperçu, ce symptôme fourbe ? 😉

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  4. La parvovirus s’en va enfin ! Je suis super contente d’apprendre ça 🙂
    Je compatis pour le téléphone et pour la maladresse en général (moi je n’ai pas besoin d’être enceinte pour ça). Quand j’ai vu combien allait coûter la réparation du mien, je pense que je préfère en racheter un autre !
    Bon courage pour le boulot et ne culpabilise pas pour ton doctorant, une grossesse ça ne se programme pas vraiment…

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    1. Venant justement d’une doctorante en période critique, ça me rassure, ce que tu me dis là !

      Et oui, en ce qui concerne le téléphone, ça vaudrait le coup d’en racheter un autre : j’avoue avoir hésité longtemps….!

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  5. C’est chouette d’avoir de tes nouvelles, surtout pour le parvovirus ! Je vais aller dans le même sens que tous les autres commentaires : c’est normal que tu sois un peu moins là : un boulot, une grossesse, une poupette, une nouvelle maison !!! N’importe qui serait débordée ! Ménage toi quand même un peu !
    Pour la maladresse de grossesse, j’en ai une autre : je ne sais comment je me débrouille mais en fin de journée je me rends presque toujours compte que j’ai cradossé mon t-shirt au niveau du ventre. Et je ne sais jamais comment j’ai fait 🙂

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  6. Ca fait plaisir d’avoir de tes nouvelles! Entre ta fille, ton travail, votre emménagement (et un mari à gérer côté salon lol), et bien sûr ta grossesse, je trouve que tu te débrouilles très bien! Je suis d’ailleurs admirative car je ne sais pas comment je vais arriver à gérer les choses quand j’attendrai bébé2!!! Je suis déjà fatiguée maintenant, alors après! lol Bref, ne te mets pas trop de pression pour ton retour au boulot, c’est loinnnnnnnnnnnn, et d’ici là beaucoup de choses peuvent/vont se passer! Pour le côté maladresse de femme enceinte, je ne connais pas ce symptôme mais c’est peut-être parce que je suis naturellement maladroite lol. Bon courage pour la suite et profite bien de ton congé maternité!

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    1. Merci pour tes mots, Elo ! Et oui, tu as raison, ça fait beaucoup de choses à gérer : c’est encore et toujours difficile pour moi de savoir prioriser.
      Bon, dommage, tu ne partages pas mon syndrome de femme enceinte maladroite, mais si tu l’es dans la vraie vie, c’est peut-être passé inaperçu ? 😉

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  7. Tu es pardonnée bien évidemment, et comment ça moi aussi je fais un peu des parenthèses blog en ce moment ?
    Bref je compatis, et je suis dans le même cas que toi, sauf que c’est pas un doctorant mais c’est presque pareil 😀
    Bon courage, nous aussi c’est le bordel chez nous et encore on a pas de Choupette dans les pattes en plus 😉

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  8. Normal, normal d’être moins dispo pour ton blog, tu as dû vivre des moments tellement stressants.
    Tu as raison, cette période de l’année n’est pas propice à la joie et la bonne humeur. On passe à une nouvelle année pleine d’espoir, et puis très vite on se rend compte que ce n’est que la continuité de la précédente… Allons, les jours se rallongent, et le beau temps reviendra réchauffer les coeurs.
    Quant au travail, même si je comprends ce sentiment de vouloir faire tes preuves, ce n’est « que » le travail, il faut pouvoir s’en détacher lorsque la vie privée s’agrandit ! On s’oublie un peu trop pendant la 2ème grossesse, parce qu’on l’a « déjà vécu », parce qu’on a le premier… Mais savoure autant que tu peux la construction de ce petit être, sans culpabiliser de devoir t’absenter pour l’accueillir dans ce monde. Tu vas donner la vie, je trouve que c’est déjà un exploit en soi.
    Courage, on pense à toi !

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    1. Oh merci Mlle Mora ! Tu as raison, c’est un sacré exploit que de fabriquer, porter, et puis donner une vie. Comme tu le dis, on a déjà tendance à bien trop s’oublier, pendant cette deuxième grossesse, alors que tout s’enchaîne et que le temps défile à toute vitesse.

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  9. Le quotidien doit être plus que bien rempli ces temps ci pour toi ! J’espère que vous trouvez vos marques dans cette jolie maison, en tous cas le choix des couleurs du salon est top 😀❤
    Je comprends que tu culpabilises de laisser ton boulot, mais c’est bien normal de s’arrêter quand on est enceinte ! Il ne faut pas oublier non plus de te ménager 😉
    La maladresse enceinte je compatis ! Moi aussi j’avais l’impression d’être totalement maladroite : j’ai cassé un certain nombre de verres en fin de grossesse 😉 et je n’arrêtais pas de me cogner partout, surtout les tibias vu que je ne voyais plus où je mettais les pieds ^^

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  10. Mais ne te mets pas autant de pression (si je peux me permettre) et ce n’est pas un article en vrac, il se passe tellement de choses dans ta vie !!! C’est normal de ne pas avoir le temps qu’on voudrait pour tout. Je comprends aussi ton ressenti le travail, mais des beaux projets de ce côté là, il y en aura encore plus tard 😉 En attendant, prends bien soin de toi.

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  11. Ravi d’avoir de tes nouvelles et qu’elles soient bonnes! Comme je compatis aux insomnies de grossesse où j’ai milles idées et aux lendemains épuisés! (sauf que j’ai la « chance » d’être en arrêt et de pouvoir me reposer la journée).
    Je fais tout tomber aussi, je tâche mont-shirt à chaque repas (oui mais la distance entre la table et ma bouche est plus longue à parcourir comme je dis à mon mari). Mais je demande beaucoup à ma fille de m’aider à ramasser ce qui est par terre, pas de scrupules elle trouve ça amusant, comme fermer les fermetures éclair de mes bottines… trop génial!)
    Bref je te souhaite plein de belles choses, ne t’inquiète pas pour le blog et profite de ta maison, ta grossesse, ta famille et de ton job!

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    1. Oh oui, chouette, encore une copine de grossesse maladroite ! Je suis vraiment soulagée de voir que ça n’arrive pas qu’à moi ! Et je connais aussi les tâches sur le t-shirt, à la cantine du boulot : la honte ! 😉
      Ah ah ah, les fameuses insomnies super fructueuses : on en rêve mais elles disparaissent, envolées au matin !
      Profite bien, toi aussi ! ❤

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  12. Je suis soulagée de voir que ce vilain parvovirus s’éloigne (même si je comprends que tu souhaites avoir la confirmation avant de te réjouir pleinement).
    Pour la suite, PAS DE PANIQUE ! On ne peut pas tout gérer de front, il y a des moments où il faut reconnaitre que prioriser (mais vraiment prioriser) les choses est indispensable si on ne veut pas se perdre !
    Tu as beaucoup de choses à gérer en parallèle et ce n’est pas évident. Alors, respire un grand coup et tout va bien se passer !
    Pour le boulot : j’avais la même sensation que toi au début, je voulais absolument finir tel et tel projet avant de partir en congé maternité, mais mon corps a décidé à ma place et je me suis retrouvée arrêtée du jour au lendemain sans avoir fini les projets, sans pouvoir former la personne qui me remplaçait ! Et tu sais quoi ? Ben, les projets avancent sans moi (j’ai quand même suivi de loin grâce à mes supers collègues qui m’ont tenue informée, interrogée par mail ou téléphone sur certains aspects)… Ca m’a permis de relativiser, de prendre du recul par rapport à mon rapport au travail… Un mal pour un bien au final ! 😉
    Donc, profite de nouvelle maison, prenez vos nouvelles marques, profite de ta grossesse, profite de ta Poupette, profite de ton mari ! Le blog : c’est un espace personnel auquel on ne peut pas toujours accordé autant de temps qu’on le souhaiterait, mais ça reste un hobby, quand tu sortiras la tête de l’eau : on sera là pour te lire ! (Et si tu as besoin de vider ton sac, n’hésite pas 😉 )

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    1. Et oui, savoir prioriser, vraiment prioriser, comme tu dis, c’est encore ma grande faiblesse. Je suis plutôt du genre à faire les choses comme elles viennent, mais ça crée bien trop souvent, ces derniers temps, des situations de panique.
      Et pour le boulot, idem, j’essaie de prioriser intelligemment, mais comme tout ne dépend pas de moi, ce n’est pas évident !
      Merci pour tes mots, en tout cas ! ❤

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